A vous toutes, petites sœurs de douleur,
A vous qui savez ce que c’est que la peur
A vous qui tremblez, qui souffrez,
Vous qui êtes martyrisées
Victimes de la lâcheté de vos bourreaux
Vos larmes de sang expriment vos maux.
A toutes celles qui souffrent en silence
A celles qui meurent dans l’indifférence
Que mes bras vous bercent, apaisant vos douleurs
Que mes mots vous pansent d’une infinie douceur
Que cessent vos tourments, renaissez à la vie
Et que dorénavant l’avenir vous sourie.
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